mercredi 18 décembre 2013

Portrait de Catalina de Aragón, future reine d´Angleterre, épouse du roi Henri VIII.


Museo Thyssen-Bornemisza.
Détail du tableau de Catalina de Aragón publié en fin de billet.

Comme j´aime trouver des détails de tableaux.

Celui-ci fut peint par Juan de Flandes, peintre flamand qui résida en Espagne une grande partie de sa vie (Flandres 1485 - Palencia España 1519).
Détails du portrait de Catalina de Aragón, infante d´Aragón et Castilla qui épousera Henri VIII d´Angleterre.
Née à Alcalá de Henares en 1485 (comme Miguel de Cervantes 1547-16169) morte au château de Kimbolton (Angleterre) en 1536.



Museo Thyssen-Bornemisza. Madrid.
Détail du tableau de Catalina d´Aragón publié en fin de billet.





Museo Thyssen-Bornemisza. Madrid.
Détail du tableau de Catalina de Aragón publié en fin de billet.



Museo Thyssen-Bornemisza. Madrid.
Détail du tableau de Catalina de Aragón publié en fin de billet.





Museo thyssen-Bornemisza. Madrid.
Détail du tableau de Catalina de Aragón publié en fin de billet.





Museo Thyssen-Bornemisza. Madrid
Détail du tableau de Catalina de Aragón publié en fin de ce billet.



Museo Thyssen- Bornemisza. Madrid.
Détail du tableau Catalina de Aragón publié en fin de billet.



Museo Thyssen-Bornemisza. Madrid
Catalina de Aragón. Reine d´Angleterre, épouse d´Henri VIII d´Angleterre. 1496
Elle avait 11 ans.


Signature de Catalina de Aragón. Reine d´Angleterre de 1509 à 1527, quand elle fut répudiée.


mardi 10 décembre 2013

Tolède en 1920 par Otto Wunderlich.



Otto Wunderlich

Un vrai document ces photos d´Otto Wunderlich publiées par Eduardo Sanchez Butragueño dans son blog : toledo olvidado   à qui j´ai demandé le droit de publier quelques-unes des photos de ce photographe allemand résidant à Tolède.

Otto Wunderlich (Stuttgart 1886 - Madrid 1975) travaillant dans une société minière à Tolède avait une passion ; la photographie et les voici donc presque 100 ans après, elles datent de 1920.
J´ai essayé de retrouver le Tolède que je connais, c´est très difficile sur quelques-unes.
Bonne promenade...


Otto Wunderlinch

Un atelier de céramique à Tolède.




 Otto Wunderlinch

Aucune idée où je pourrai retrouver cette rue... mais je chercherai.




 Otto Wunderlinch

J´ai une petite idée...




Otto Wunderlinch

Hospital Santa Cruz. Toledo




Otto Wunderlinch.

Difficile je crois...


Otto Wunderlinch

Porte, entrée d´un patio. Peut-être la Casa del Greco...


Otto Wundeerlinch

Cheminée dans la Casa del Greco.

lundi 2 décembre 2013

Sur les chemins de Castille. Page II. Sotosalbos. Son église romane


Photo Alba.

Village de Sotosalbos (100 km de Madrid). Segovia. Castilla y León.
J´aime aller vagabonder vers ces petits chemins bordés de vieilles pierres.





Photo Alba

Découvrir ses vieilles maisons riches en passé.







Photo Alba

Son église romane du XII ème siècle, une des plus belles de la région de Segovia qui en compte à peu près 300.


Photo Alba




Photo Alba




Photo Alba




Photo Alba




Photo Alba




Photo Alba

A d´autres escapades sur mes chemins de Castille.

lundi 18 novembre 2013

Sur les chemins de Castille. Ayllón. Segovia. Castilla y León. Page I.


Photo Alba

Décidée de parcourir la Castille, afin de découvrir l´art roman, vieilles pierres...
Aujourd´hui, page I. Ayllón. Province de Segovia. Castilla y León.

Tout d´abord ce portail de l´église romane Saint-Nicolas d´Ayllón, seul vestige de cette église.
Un cimetière occupe l´espace laissé à découvert.




Photo Alba





Photo Alba

Aspect du Couvent de Saint-François d´Assise, vue de la route qui me menait vers d´autre lieux.
Fondé au retour de François d´Assise en Italie, après son séjour à Saint-Jacques de Compostelle en 1214.
Sainte-Thérèse d´Avila y séjourna aussi durant l´un de ses nombreux voyages en Espagne afin de créer de nouveaux monastères.




Photo Alba




Photo Alba




Photo Alba





Photo Alba

Toujours émue à la découverte d´un couvent en ruines.

A bientôt vers d´autres chemins de Castille.

vendredi 8 novembre 2013

Macchioli. Réalisme impresionniste en Italie. Fondation Mapfre. Madrid jusqu´au 5 janvier 2014.



Les Macchioli, un groupe d´artistes rebelles italiens à Florence vers 1855, toscans mais aussi de Venise, Naples et autres régions d´Italie,  s´opposent  à la peinture académique, leur marque de formation et recherchent une vérité honnête, sans artifice qu´ils nous démontreront dans de simples paysages, scènes champêtres, portraits de la bourgeoisie.
Ils s´intéresseront à la couleur, à l´optique et favoriseront la peinture à l´air libre, apporteront un nouveau souffle à la peinture italienne, rompant avec le néoclassicisme et le romantisme dominant.
ils sont considérés comme les inititateurs de la peinture moderne italienne.
Source : Fondation Mapfre.




Silvestro Lega 


Silvestro Lega.



Giuseppe Abatti.




Telemaco Signorini.
Porteuses d´eau à Spezia. 1861-1862
Enrico Gallerie d´Arte. Milan




Telemaco Signorini.
La sirga en le Cascine de Firenze. 1864.
Collection particulière.




Les Macchioli.

Je vous laisse ce lien sur le blog de Michelaise qui visita elle aussi, cette exposition lorsqu´elle fut à Paris au musée de l´Orangerie.
http://lepetitrenaudon.blogspot.fr/2013/07/les-macchiaioli-1-le-cafe-michelangiolo.html

vendredi 25 octobre 2013

"Le peintre des peintres" ainsi décrivait Manet à Velázquez, dans une lettre envoyée de Madrid à son ami Fantin-Latour .


Velázquez Diego.
La infanta María-Teresa de España. 1653
Metropolitan museum of New-York

Exposition : Velázquez et la famille du roi d´Espagne, Felipe IV. Museo del Prado.
Du 8 octobre 2013 au 9 février 2014.

Dans ce premier billet, je vais vous présenter les infantes :
Tout d´abord l´infante María-Teresa de España (née au Palacio del Escorial en 1638, morte à Versailles en 1683).

Fille du roi d´Espagne Felipe IV et d´Isabelle de France (fille de notre Henri IV et de Marie Médicis).

L´infante María-Teresa se mariera avec Louis XIV à Saint-Jean de Luz en l´église Saint-Jean Baptiste.

Velázquez séjournant à Rome, fut rappelé par le roi Felipe IV en 1651 afin de revenir à Madrid réaliser des portraits de la famille royale dont les infantes.
Les tableaux des infantes seront envoyés à certaines cours d´Europe, dont Paris, Vienne entre autres... afin de les faire connaître.
Un de ces tableaux sera envoyé à Paris, celui de Maria-Teresa de España.
Velázquez va donc peindre plusieurs portraits féminins dans ses dernières années comme peintre de cour.




Velázquez Diego. 
L´ infante María-Teresa de España. 1652.
Musée d´Histoire de l´Art. Vienne.



Eglise Saint-Jean-Baptiste. Saint-Jean de Luz. Pays basque.
Photo de Faisans.Jean-Luc. 
Licence libre pour partager.

Velázquez utilisa tout son art pour peindre les infantes. 
Admirons cette chrysalide de papillon dans la chevelure de l´infante María-Teresa (1 ère image), robes somptueuses... rideaux, tapis ornent ces tableaux.
Voyez aussi la montre attachée à sa ceinture...

Voici donc maintenant l´infante Margarita de España (Madrid 1651-Vienne 1673). Morte si jeune à 22 ans.
Elle se mariera avec l´empereur Léopold d´Autriche, en 1666.



Velázquez Diego. L´infante Margarita de España. 1653
Musée d´Histoire de l´Art de Vienne.

L´exposition permet d´assister à l´évolution de l´infante Margarita.
Depuis ce premier tableau à ses 3 ans jusqu´en 1660, mort de Velázquez
Postérieurement, Juan Bautista Martinez del Mazo, gendre de Velázquez deviendra peintre de cour et continuera son oeuvre.    Velázquez fit quatre portraits d´elle, dont les Ménines où elle préside... tableau ci-dessous.




Velazquez Diego.
Détail du tableaux "les Ménines" 1656. L´infante Margarita de España.




Velázquez Diego. L´infante Margarita de España.





Velázquez Diego. L´infante Margarita de España. 1659
Musée d´Histoire de l´Art. Vienne.

Dédié à ces jeunes infantes aujourd´hui.
Postérieurement, je rédigerai d´autres billets sur l´oeuvre de Velázquez.

lundi 7 octobre 2013

Art Roman. Escapades en Castilla-León.


Photo Alba

Temple de la Nativité de Santa-María de Riaza. Ayllón. Segovia

Je profite de ce merveilleux automne castillan pour aller visiter églises, monastères.
Roman tardif. XIII ème siècle.
La sacristie adossée à l´abside nous la cache.



Photo Alba






Photo Alba

Peintures Roman tardif, trouvées sous le plafond mudéjar.




Photo Alba

Plafond mudéjar (lien) XIV ème siècle.





Photo Alba

Fonts baptismaux wisigoth ou mozárabe (lien).




Photo Alba

Je vous laisse sur cette vue de cette région Castilla-León, prise hier matin 6 octobre à mi-chemin entre Madrid-Burgos. (133 km de Madrid).
Futurs billets de mes découvertes dans cette région.