Val de Loire. Anjou. Coteaux du Layon. Vouvray. "C´était un 1947"(...). Jean-Paul Kauffmann. Joaquim du Bellay. Gentilhomme angevin.

Source Internet. Anjou. Coteaux du Layon. Chaume. 1945

Jean-Paul Kauffmann dans son livre (La maison du retour) :
"C´était un 1947. Je ne m´attendais pas à une telle émotion. Cela ressemblait à une divulgation. Quelle merveille ! Un vin d´une pureté, d´une droiture et d´une complexité aromatique exceptionnelles. Depuis ce jour je n´ai jamais connu une délectation semblable. A quelques reprises, j´ai cru retrouver ce sentiment parfait de plénitude et d´harmonie".

Quand vous me voyez parler de mon pays vous pouvez dire ."Les racines l´appellent".
Très vrai.
Que de souvenirs pour moi a ravivé Jean-Paul Kaufmann en parlant de ces vins de Loire, le Coteaux du Layon 1945, 1947, les années  préférées  pour mon père,  était présent sur la table pour fêter les grands moments.

Source Internet. Anjou. Coteaux du Layon. Chaume. 1945

Source Internet. Raisns du vignoble Coteaux du Layon.

Source Internet. Carte des Côteaux du Layon. Anjou.

Source Internet. Vignobles Coteaux du Layon. Anjou.

Photo Alba

La Loire, près de Saumur.
Ce site m´émeut toujours, nous y allions déjeuner souvent avec mes parents.

 Photo Alba

Puis nous faisions une promenade dans ce parc.

Photo Alba
En suivant la Loire.

 Photo Alba

C´était Octobre et la Loire était à sec, à Saumur.

Photo Alba

C´est bien la Loire.

Source Internet. 

Château de la Tourmelière. Joachim du Bellay.

Ce tout petit livre, je vous le conseille si vous voulez faire un tour dans cette région, recueil de textes choisis par Françoise Benassis.
"Est-ce le goût d´éternité de ses lumières mouvantes infiniment qui provoque cette rage de construire un jardin, un château, une abbaye en dur ou en rêve, un pont ?... Du végétal au minéral, tout est pensée d´architecture. La Loire civilisée s´en glorifie et n´en reste pas moins aux yeux de Flaubert qui a eu la malignité de lui préférer la Seine : "le plus sensuel des fleuves".

Un livre que je ne connais pas, à chercher.
Et pour terminer, relisons Joachim du Bellay, l´Angevin.
Je n´escris point d´amour n´étant point amoureux,
Je n´escris de beauté n´ayant belle maistresse,
Je n´escris de douceur n´esprouvant que rudesse,
je n´escris de plaisir me trouvant douloureux ;
La suite sur ce lien :
http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/joachim_du_bellay/je_n_escris_point_d_amour_n_estant_point_amoureux.html

Sans oublier celui-là que je relis toujours avec tant de plaisir .
"Heureux qui comme Ulysse a fait un bon voyage,
Ou comme cestuy-là qui conquit la toison
Et puis est retourné plein d´usages et raison
Vivre entre ses parents le reste de son âge !

Quand reverrai-je hélas de mon petit village
Fumer la cheminée et en quelle saison
Reverrai-je le clos de ma pauvre maison,
Qui m´est une province et beaucoup d´avantage ?

La suite sur ce lien :
http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/joachim_du_bellay/je_n_escris_point_d_amour_n_estant_point_amoureux.html