Photo Alba
(...) celle de Clémenceau (1841-1929) et Marguerite Baldensperger qui avait 40 ans de moins que lui, ils se sont connus en 1923.
Clémenceau découvrant un jour, qu´elle portait le deuil, apprit la perte de sa fille et lui écrivit ou lui commenta :
"Je vais beaucoup penser à vous, il faut reprendre le goût de la vie, il faut lutter. Mettez la main dans la mienne. Je vous aiderai à vivre et vous m´aiderez à mourir, tel est notre pacte, embrassons-nous."
Source : émission de radio
Clémenceau, personnage connu pour sa personnalité, son fort caractère, appelé le Tigre, nous montre une autre facette de lui, dans cette citation.
On ne garde souvent en mémoire que le Tigre.
RépondreSupprimerOn oublie l'homme qui devait aussi avoir sa part de sensibilité.
Je ne connaissais pas cette correspondance par contre je connaissais celle qu'il a eue avec Monet,pas moins de 153 lettres réunies dans Georges Clémenceau à son ami Claude Monet,livre que je me suis offert et que conseille
Bonne journée
On s'écrivait beaucoup en ce temps là. Nous avons retrouvé quelques années de la correspondance des grands parents de mon mari...une lettre par jour!
RépondreSupprimerA l'heure du téléphone portable et du texto, cela fait rêver...
RépondreSupprimerAnne