mardi 15 juin 2010

668 lettres, une amitié exceptionnelle...

Photo Alba

(...) celle de Clémenceau (1841-1929) et Marguerite Baldensperger qui avait 40 ans de moins que lui, ils se sont connus en 1923.
Clémenceau découvrant un jour, qu´elle portait le deuil, apprit la perte de sa fille et lui écrivit ou lui commenta :
"Je vais beaucoup penser à vous, il faut reprendre le goût de la vie, il faut lutter. Mettez la main dans la mienne. Je vous aiderai à vivre et vous m´aiderez à mourir, tel est notre pacte, embrassons-nous."
Source : émission de radio

Clémenceau, personnage connu pour sa personnalité, son fort caractère, appelé le Tigre, nous montre une autre facette de lui, dans cette citation.

3 commentaires:

  1. On ne garde souvent en mémoire que le Tigre.
    On oublie l'homme qui devait aussi avoir sa part de sensibilité.
    Je ne connaissais pas cette correspondance par contre je connaissais celle qu'il a eue avec Monet,pas moins de 153 lettres réunies dans Georges Clémenceau à son ami Claude Monet,livre que je me suis offert et que conseille
    Bonne journée

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  2. On s'écrivait beaucoup en ce temps là. Nous avons retrouvé quelques années de la correspondance des grands parents de mon mari...une lettre par jour!

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  3. A l'heure du téléphone portable et du texto, cela fait rêver...
    Anne

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