Elégante coiffure d´une des
Trois Grâces de
Rubens Pierre Paul (1630-1635) et l´imposant, séduisant cheval du tableau Portrait équestre du Duc de Lerma (1607) de
Rubens aussi.
Exposition donc de Rubens au Museo del Prado comportant 91 tableaux, tous appartenant à la Collection royale espagnole.
Rubens Pierre Paul. Saint-Thomas. 1610-1612
Je vous laisse l´admirer...
On a toujours le sentiment que l'herbe est plus verte ailleurs.
RépondreSupprimerC'est ce que j'éprouve chaque fois que je viens chez toi,il me semble qu'à Madrid vous avez beaucoup plus d'expositions qu'à Paris,et toujours passionnante.
Ou bien est-ce que Madrid aurait opté pour des expositions moins médiatiques,moins médiatisées ,et de ce fait en proposer davantage?
Quoi qu'il en soit une bien agréable façon de commencer la journée
Merci
Ces deux têtes vues ainsi en gros plan sont éblouissantes!
RépondreSupprimerMême remarque que celle de Françoise, on dirait que Madrid est un défilé culturel constant, j'en reste toujours ébahie...
RépondreSupprimerBonne journée, Alba !
Pour faire suite à vos commentaire, j´ai décidé de vous répondre dans un prochain billet.
RépondreSupprimerMerci de votre visite.
Voilà ce qui arrive quand on ne relit pas.
RépondreSupprimerAlba et le "s" de commentaires ?
Oui c'est un véritable défilé de chef-d'oeuvres que tu nous proposes à chaque billet ou presque ! J'aime beaucoup la composition et l'harmonie qui se dégage de ta première photo. Crinière et chevelure ! Admirable !
RépondreSupprimerFemme et jument... une allusion aux croupes généreuses des femmes de Rubens, tout le contraire des top modèles anorexiques à la démarche stéréotypée perchées qu'elles sont sur leurs hauts talons ?!
RépondreSupprimerComme ce cheval à la crinière dans le vent est beau et ce dernier portrait est exceptionnel ... !!! Quelle maîtrise ! Ce n'est pas le souvenir que j'avais des toiles de Rubens. Je suis éblouie ! Merci Alba.
RépondreSupprimerC'est beau d'avoir associé ces deux généreuses chevelures !
RépondreSupprimerDéfinitivement, j'aime Rubens !
RépondreSupprimerBonne fin de semaine,
sébastien
Ah ! Rubens ce peintre de la lumière venu des pays du nord et sur lequel Baudelaire a écrit dans "les Phares" :
RépondreSupprimer« Rubens, fleuve d'oubli, jardin de la paresse,
Oreiller de chair fraîche où l'on ne peut aimer,
Mais où la vie afflue et s'agite sans cesse,
Comme l'air dans le ciel et la mer dans la mer. »
Comme le disent plusieurs commentaires vous êtes gâtés à Madrid !
Ce cheval est splendide.
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